les photos
Je suis face au vestige d’une France photographiée, devant les centaines de tirages noirs et blancs. Comment ne pas entrevoir la fin d’un monde, celui dans lequel s’inscrit ma propre pratique photographique ? Patria obscura est mon adieu au monde argentique, un éloge de la lenteur et de l’image latente, une survivance du temps long sur le règne de l’immédiateté numérique.